LUI octobre 2022
Regards sur ma vie
Serpent de mer à Saint Georges
Avril-Mai 2020
COVID Créations
De l’importance du regard
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DEUTSCHE FREUNDIN
En 1962 ce n’est pas tant le hasard qui unit la Française et l’Allemande en correspondance scolaire, qu’un défi aux interdits qui pèsent sur les relations entre leurs deux pays.
Leur amitié est d’abord épistolaire. Toutes deux rêvent de liberté et de découvertes. Elles lisent beaucoup et aiment écrire. Une lettre dans la langue de l’autre par semaine permet à ces intrépides de résister à l’ennui et à la ségrégation sociale qui plombent leurs vies d’adolescentes dans leurs villes de province.
En 1963 Arras et Worms bien que riches en arts et légendes sont des villes bourgeoises engluées dans le carcan des préjugés de l’époque.
Les donzelles se rencontrent en vacances et font valser les frontières. Elles veulent tout voir, tout faire, tout peindre, tout dire. Elles veulent créer. Elles veulent vivre. Viendront plus tard leurs compagnons qui s’intégreront naturellement au puzzle complexe de leur amitié indéfectible… jusqu’à cette année maudite 2020.
La femme qui danse dans sa tête survit toujours
2017
Regards et Interrogations
Jamais je ne retournerai ma veste.
Je ne me rallie à aucune mode sauf la mienne au sens du XVème siècle: "désigne plus particulièrement la façon de penser, de vivre, propre à une personne."
Je vis avec (cum) mon temps, dans mon temps (tempus).
Malgré les embûches je revendique le fait de participer à l'ART (ars, artis: façon d'être-façon d'agir) CONTEMPORAIN.
Regards et Interrogations
Jamais je ne retournerai ma veste.
Je ne me rallie à aucune mode sauf la mienne au sens du XVème siècle: "désigne plus particulièrement la façon de penser, de vivre, propre à une personne."
Je vis avec (cum) mon temps, dans mon temps (tempus).
Malgré les embûches je revendique le fait de participer à l'ART (ars, artis: façon d'être-façon d'agir) CONTEMPORAIN.
Renaissance et Transcendance
Janvier 2016
Huile sur toile
54 x 81 cm
Défi
Considérons le défi d’une princesse d’amour déchue renaissant de ses cendres pour régner dans sa tête sur l’empire infini des arts et de la culture.
Elle errait les yeux délavés d’indifférence dans un désert de nuages perle. Etait –elle au monde ? Etait-ce la vie ? Elle n’en avait pas conscience.
Il y eut cette explosion de lumière. Le peu de temps que cela dura elle devint un astre fou irradiant de l’intérieur à en perdre le souffle.
La chrysalide qu’elle était encore en resta engourdie de stupeur. Il faut croire que l’effet fut aussi fulgurant sur les lèvres d’or de son soleil qui, bien qu’il l’eut faite femme, choisit de s’enfuir à toutes flammes.
Elle crut bien faire le saut de la mort lorsqu’elle passa en chute libre au bord de limbes blêmes dont elle était sortie. Celles-ci ne daignèrent même pas la retenir.
Mais la chrysalide s’épanouissait inexorablement en un instinct de survie et ses ailes freinèrent la chute.
Ce papillon-là n’est pas un éphémère. Ses ailes libertaires ont agrippé le monde des arts et de la culture pour une mystique de l’esthétique et je ne le laisserai jamais s’étioler.
Bas les masques
huile sur toile
100 cm x 50cm
Octobre 2015
Mars 2015.
The show goes on.
Pavoisons: Ma grande toile hommage à mes villes d'amour Paris, New York et villes provençales exposée au Salon des Indépendants a attiré l'attention de la FNCF.
L'or pour mon triangle d'or, c'est fort.
Je n'hésite pas à vous présenter ma nouvelle œuvre "Mystique de l'Athée" qui se situe bien dans ma ligne de conduite inébranlable: toujours aller le front haut malgré les tentacules des rebuffades qui veulent nous couler dans le moule de la médiocrité.
Huile sur toile
1m x1m
Dans la série "je m'incruste",
toile au gabarit invraisemblable pour convenir aux salons...
Mes villes, ma culture
Huile sur toile
1mx1m
SALON DES INDEPENDANTS
au Grand Palais
du 4 au 8 décembre 2013
Cette toile a retenu l'attention de la
Fédération nationale de la Culture Française
qui m'a décerné le diplôme de la
Toile d'Or de l'année 2014
Exposition en décembre 2012 ...
Chaque tableau raconte une histoire
Pas de dieu, pas de maitre, pas nanar pour autant.
Hors mode - au feeling - quand je veux, si je veux.
Liberté totale de création.
Lettre ouverte aux tenants de l’ouverture d’esprit
C’est avec humeur et non avec humour dont j’ai subi l’ablation il y a bien longtemps que je veux remercier, dans le sens de licencier de mes contacts, ces pions lobotomisés qui se pavanent et caquètent sur l’échiquier inculte de l’art contemporain en se gardant bien d’entrouvrir les portes de la curiosité et de la découverte.
J’ai nommé
-les média culturels prétendument accessibles : TV, radios, rares hebdomadaires gratuits soi disant ouverts.
-journaux de province jaloux de la capitale
-magazine municipal de ma charmante banlieue dortoir qui roucoule de bonheur en nous signalant que « l’activité culturelle se poursuit à un rythme soutenu » pendant que les amoureux de Paris et de la culture sont pris en otages par les transports en commun inexistants, le grand tramway sans wagon sans connexion avec la capitale, les roulant dans la farine des impôts.
-les commissions et affaires culturelles de tous poils incapables de profiter seulement d’affiches et de flyers gratuits, dont l’activité semble se résumer à se réunir pour savoir quand ils vont se réunir, confondant esthétique et sociologie.
-sans oublier les bastions libéraux et autres forteresses blindées qui se gargarisent de leurs remarques révolutionnaires en copié-collé fervents adeptes des Artistes Contemporains sans comprendre ce qu’ils disent ! Evidemment que je suis contemporaine : vivante dans mon époque, sans oublier le petit mot interdit, nul doute que j’en fasse partie aussi.
-grands noms sur le devant de la scène s’emmêlant trop les pieds
dans leurs patronymes pour se déplacer.
Merci à tous ces fantoches de m’avoir prouvé qu’ils étaient exactement tels que je les imaginais.
Et puis il y a les vœux.
Je VŒU que tous les amis qui ont répondu présents, ne serait-ce que par un petit mot ou en me rendant visite, à la fête du vernissage vivent une excellente année 2013 en persistant à pousser toutes les portes du savoir, de la découverte… à tous ceux là je leur dis vraiment merci. Merci à Alexandra de m'avoir ouvert sa galerie.
Je VŒU dire que je suis fière de ma peinture.
.
C’est avec humeur et non avec humour dont j’ai subi l’ablation il y a bien longtemps que je veux remercier, dans le sens de licencier de mes contacts, ces pions lobotomisés qui se pavanent et caquètent sur l’échiquier inculte de l’art contemporain en se gardant bien d’entrouvrir les portes de la curiosité et de la découverte.
J’ai nommé
-les média culturels prétendument accessibles : TV, radios, rares hebdomadaires gratuits soi disant ouverts.
-journaux de province jaloux de la capitale
-magazine municipal de ma charmante banlieue dortoir qui roucoule de bonheur en nous signalant que « l’activité culturelle se poursuit à un rythme soutenu » pendant que les amoureux de Paris et de la culture sont pris en otages par les transports en commun inexistants, le grand tramway sans wagon sans connexion avec la capitale, les roulant dans la farine des impôts.
-les commissions et affaires culturelles de tous poils incapables de profiter seulement d’affiches et de flyers gratuits, dont l’activité semble se résumer à se réunir pour savoir quand ils vont se réunir, confondant esthétique et sociologie.
-sans oublier les bastions libéraux et autres forteresses blindées qui se gargarisent de leurs remarques révolutionnaires en copié-collé fervents adeptes des Artistes Contemporains sans comprendre ce qu’ils disent ! Evidemment que je suis contemporaine : vivante dans mon époque, sans oublier le petit mot interdit, nul doute que j’en fasse partie aussi.
-grands noms sur le devant de la scène s’emmêlant trop les pieds
dans leurs patronymes pour se déplacer.
Merci à tous ces fantoches de m’avoir prouvé qu’ils étaient exactement tels que je les imaginais.
Et puis il y a les vœux.
Je VŒU que tous les amis qui ont répondu présents, ne serait-ce que par un petit mot ou en me rendant visite, à la fête du vernissage vivent une excellente année 2013 en persistant à pousser toutes les portes du savoir, de la découverte… à tous ceux là je leur dis vraiment merci. Merci à Alexandra de m'avoir ouvert sa galerie.
Je VŒU dire que je suis fière de ma peinture.
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Ouvrons grands les yeux
Pour voir d'autres visages
Sachant qu'il s'en faut d'un cheveu
Pour passer à côté des sages
Histoire du tableau que je n'aime pas mais que je ne déteste pas
Il y a un fond noir, comme d'habitude à priori.
Malheureusement pour une fois cette base ne permet pas à des couleurs lumineuses et explosives comme le rouge et le jaune d'éclater et de pétarader. Elle évoque le cadre sinistre et uniforme actuel dans lequel nous évoluons, y compris et surtout dans le monde artistique contemporain, n'en déplaise à des artistes de renom.
Mes couleurs de soleil ne sont pas là, ça me fait une raison de ne pas aimer ce tableau qui joue les outsiders dans ma collection.
Il y a bien un peu de bleu-vert, une boucle d'oreille en or, mais observez bien l'ensemble: il est barré. J'ai mis une croix dessus. Je ne vois rien, je n'entends rien de ce qui ressort de ce soi-disant tableau. Le bijou a perdu tout éclat, tout reflet dynamique: l'or s'est terni avec la vision de l'artiste.
C'est un tableau fait en une heure où j'ai mis des coups de pinceau, eh oui j'ai agressé la toile, presque au hasard (notez que j'ai dit "presque") en tous cas sans idée préconçue, façon mode picturale actuelle. Autre raison de ne pas aimer cette production.
Les pigments maintenant. Ils m'ont quelque peu donné du fil à retordre.Je les trouve encore trop généreux par rapport à ce que je voulais exprimer, un peu trop chaleureux, un peu trop ambrés pour de la ... merdre. Je suis décidément trop sympa je vous cite Ubu. Ou serait-ce que je n'aurais pas le courage de mes opinions?
Je vous rassure tout de suite, ce n'est pas ce que vous pensez:
1) D'abord la vraie merde, en boite, ou la merde d'éléphant, ça a déjà été fait. Pas de plagiat.
2) J'ai toujours combattu tout ce qui fait qu'un être humain puisse se rabaisser de son propre chef à son état initial d'animal.
Vous comprenez maintenant pourquoi je n'aime pas ce tableau? Parce que ce n'est pas moi. Je me suis simplement pliée aux courants actuels.
Or je hais me plier à quoi que ce soit.
Cependant je ne le déteste pas:
1) J'ai choisi de réagir de la sorte.
2) Je n'ai pu me résoudre à produire quelque chose de définitivement hideux, sale ou obscène. Je n'ai pu m'empêcher de garder des symétries, une certaine harmonie même si ces critères sont subjectifs. J'ai gardé le contrôle de moi même ce qui pour le coup en fait un mauvais tableau puisque j'ai réagi la tête froide.
3) C'est malheureusement ma vision de trop d'aspects de l'art contemporain où les amalgames et agglomérats sordides jusqu'à être parfois nauséabonds l'emportent trop souvent sur toute idée de beauté.
J'essaye de créer et de parler vrai dans ma peinture et je m'y tiens. En même temps mon vrai but est d'exposer mes oeuvres pour extérioriser mes affres et mes idées et ainsi rencontrer les autres et communiquer avec eux.
Or étant hors mode, bien que vivant avec mon temps, je ne rencontre qu'indifférence.
Malheureusement pour une fois cette base ne permet pas à des couleurs lumineuses et explosives comme le rouge et le jaune d'éclater et de pétarader. Elle évoque le cadre sinistre et uniforme actuel dans lequel nous évoluons, y compris et surtout dans le monde artistique contemporain, n'en déplaise à des artistes de renom.
Mes couleurs de soleil ne sont pas là, ça me fait une raison de ne pas aimer ce tableau qui joue les outsiders dans ma collection.
Il y a bien un peu de bleu-vert, une boucle d'oreille en or, mais observez bien l'ensemble: il est barré. J'ai mis une croix dessus. Je ne vois rien, je n'entends rien de ce qui ressort de ce soi-disant tableau. Le bijou a perdu tout éclat, tout reflet dynamique: l'or s'est terni avec la vision de l'artiste.
C'est un tableau fait en une heure où j'ai mis des coups de pinceau, eh oui j'ai agressé la toile, presque au hasard (notez que j'ai dit "presque") en tous cas sans idée préconçue, façon mode picturale actuelle. Autre raison de ne pas aimer cette production.
Les pigments maintenant. Ils m'ont quelque peu donné du fil à retordre.Je les trouve encore trop généreux par rapport à ce que je voulais exprimer, un peu trop chaleureux, un peu trop ambrés pour de la ... merdre. Je suis décidément trop sympa je vous cite Ubu. Ou serait-ce que je n'aurais pas le courage de mes opinions?
Je vous rassure tout de suite, ce n'est pas ce que vous pensez:
1) D'abord la vraie merde, en boite, ou la merde d'éléphant, ça a déjà été fait. Pas de plagiat.
2) J'ai toujours combattu tout ce qui fait qu'un être humain puisse se rabaisser de son propre chef à son état initial d'animal.
Vous comprenez maintenant pourquoi je n'aime pas ce tableau? Parce que ce n'est pas moi. Je me suis simplement pliée aux courants actuels.
Or je hais me plier à quoi que ce soit.
Cependant je ne le déteste pas:
1) J'ai choisi de réagir de la sorte.
2) Je n'ai pu me résoudre à produire quelque chose de définitivement hideux, sale ou obscène. Je n'ai pu m'empêcher de garder des symétries, une certaine harmonie même si ces critères sont subjectifs. J'ai gardé le contrôle de moi même ce qui pour le coup en fait un mauvais tableau puisque j'ai réagi la tête froide.
3) C'est malheureusement ma vision de trop d'aspects de l'art contemporain où les amalgames et agglomérats sordides jusqu'à être parfois nauséabonds l'emportent trop souvent sur toute idée de beauté.
J'essaye de créer et de parler vrai dans ma peinture et je m'y tiens. En même temps mon vrai but est d'exposer mes oeuvres pour extérioriser mes affres et mes idées et ainsi rencontrer les autres et communiquer avec eux.
Or étant hors mode, bien que vivant avec mon temps, je ne rencontre qu'indifférence.
Revenons maintenant à quelques peintures plus anciennes
Appel aux galeries de PARIS
Clefs
Dessin crayon, craie feutre sur Canson blanc
10,5cmx20,5cm
Au milieu des essais de couleurs
Ce qui revient c'est la clé
Car des arts le milieu est fermé
Sans à Paris de galerie
Même si j'en ris
Point de bonheur
Dessin crayon, craie feutre sur Canson blanc
10,5cmx20,5cm
Au milieu des essais de couleurs
Ce qui revient c'est la clé
Car des arts le milieu est fermé
Sans à Paris de galerie
Même si j'en ris
Point de bonheur
Mariage
Crayon, craie sur papier noir
21x30cm
Dédié à ma fille Lisa
21x30cm
Dédié à ma fille Lisa
JOYEUSES FETES 2012.
Sapin sans façon à ma façon
Huile sur carton entoilé
22 cm x 27 cm
Huile sur carton entoilé
22 cm x 27 cm
Sorcière Atlantique
Huile sur toile
20x20cm
20x20cm
Attends. Il faut que je joue
Huile sur toile
12x20cm
12x20cm
Devisons
Pastels naturels de Provence et crayons de couleurs
sur papier noir.
21cm x 28cm
On m'offre des pastels naturels: je les essaye tout de suite
Pour 2011 je vous souhaite de VOULOIR
Je veux monter à Paris
Huile sur toile
20 cm x 40 cm